TeteChercheuse

Spring, enfin !

Après 3 mois d'attente nous avons enfin diné chez Spring, rue de la Tour d'Auvergne.
Le menu hier soir :
En amuse bouche, des olives noire, énormes et juteuses.
Deux entrées :
. Fleur de courgette farcie à la mousse de truite, avec julienne de radis et courgette, jus d'étrilles
. Langoustine sur aubergine marinée (à la japonaise?), petite pomme de terre nouvelle et crème de pesto, quenelle de hummus.

Plat :
Magret de canard et coeur d'artichaud tiède, tartare de canard à la menthe l'amande, jus de cuisson

Dessert :
Framboises, mures, myrtilles et sirop de pêche à la verveine menthe.

Vin de Puy de Dome, vignoble de l'Arbre Blanc (rouge), épicé et tanique.

Une idée de film d'horreur

Je pense que quelqu'un y aura pensé avant moi mais cette machine (bien réelle) actuellement testée par un fournisseur de l'U.S. Army pour le transport de matériel aux côtés des troupes en terrain accidenté a quelque chose de terrifiant, et elle pourrait être le point de départ d'un film d'horreur (à classer avec The Lift, Christine, The Ring, .. dans la catégorie des films de technophobie).
Ce robot a un comportement animal, sans avoir la prévisibilité d'un animal. Que se passerait-il si cette 'mule mécanique', déréglée, cessait de simplement convoyer des munitions à travers champ, et se mettait à piétiner ou charger tous les humains qu'elle rencontrait ?

Il était temps !

Pétrole et entrées salles

???

A part ça apparemment des hedge funds qui font actuellement des fortunes avec des titres liés au cours du pétrole cherchent à réinvestir leur argent fissa pour ne pas être imposés et pourraient se tourner vers le cinéma (c'est très courant que les studios obtiennent des lignes de crédits de fonds d'investissement, pour financer la production d'une liste spécifique de projets). Même si les films produits ne sont pas rentables il seraient gagnants par rapport aux pertes liées à la fiscalité de leurs bénéfices bruts (article ici) !

990€

990€

J'adoooooore les voitures de kéké des années 80. Ici une Opel Manta,
à vendre, 990€ (à débattre). Dans le même genre j'aime bien la Renault Fuego aussi.

Comparatif entre citoyens numériques "natifs" et "immigrants"

Dans le Times d'hier :

NATIVES v IMMIGRANTS

Digital natives
Like receiving information quickly from multiple media sources.
Like parallel processing and multi-tasking.
Like processing pictures, sounds and video before text.
Like random access to hyperlinked multimedia information.
Like to network with others.
Like to learn “just in time”.

Digital immigrants
Like slow and controlled release of information from limited sources.
Like singular processing and single or limited tasking.
Like processing text before pictures, sounds and video.
Like to receive information linearly, logically and sequentially.
Like to work independently.
Like to learn “just in case”.

Mon premier tiercé

Depuis 3 jours je fais une formation auprès de RB qui, faute de championnat de foot, et après des déconvenues sur l'Euro, s'est mis assez sérieusement aux courses. Avec RB ce qui est bien c'est qu'il explique le fonctionnement très clairement, et très froidement : ce n'est pas un supporter, ce n'est pas un 'joueur' comme BM mon patron, c'est un pronostiqueur. C'est tout dans la science, et très peu dans le soit disant instinct. Il épluche les statistiques des chevaux, l'historique de leurs performances, et il est maintenant assez calé sur le fonctionnement des entraineurs et jockeys (qui par exemple peuvent modérer leur ardeur pour ne pas gagner une course secondaire et rester challenger sur une course ultérieure à gros enjeu).
RB est assez calé pour que ses gains sur les paris sportifs soient un petit complément de salaire, mais je lui ai toujours porté la poisse : à chaque fois que j'ai joué la même chose que lui on a perdu ! Lundi j'ai joué, on a perdu. Mardi je n'ai pas joué, il a gagné.
Suspense, donc, la course est à 13h50, on va la vivre en direct.
Maman m'a toujours dit que le vice de notre 'sang' c'est le jeu...

Greg in Colors

@MoMa, May 2008

Management musings (3)

Il y a un an, à Sarzeau, en route pour aller à Belle Ile, je parlais au téléphone avec W.L. qui avait un job à me proposer. Ca avait l'air intéressant mais pas assez dans mes cordes : trop business development, pas assez développement.
Et en un an rien n'a changé : j'ai eu un autre entretien, pour lequel j'ai tout de suite annoncé que je n'étais pas intéressé car j'attendais une imminente promotion dans ma boite actuelle... et rien ne s'est passé.

J'attends que le changement arrive alors que des prédateurs l'auraient provoqué depuis longtemps. Pourquoi ? Parce que je n'arrive pas à me projeter dans un job que je n'ai jamais fait. Et pour progresser il faut pouvoir s'imaginer plus haut, plus fort.

Comme m'a dit mon patron, "quand on commence à savoir faire son job, il est temps d'en changer".